Bague turquoise , dont la struture est conçu avec le procédé de la cire perdue . Dans un premier temps il s’agit de sculpter une maquette en cire , puis de la mouler dans un moule en platre . elle est recouverte de platre à l’état pateux . Une fois sec il se formera alors une empreinte dans le moule en platre . Il faut laisser alors la cire chauffée et fluide s’écouler hors du platre . Il sera alors coulé dans l’espace libéré le métal en fusion. Une fois le moule en platre refroidi il suffira de le briser pour en extraire la bague brut en argent . Il faudra ensuite l’ébavurer , la ciseler , la poncer pour enfin finalement la polir .
Bague turquoise dont la pierre est sertie dans la cuvette argent . la turquoise est scellée dans une époxy noire . La petite pluie d’argent est une piqure de clous d’argent .
Chaque pièce est unique mais pour obtenir des séries il faudra prendre l’empreinte de la bague cette fois ci dans du silicone . Puis couler de la cire pour avoir des répliques en cire et procéder aux opérations expliquées plus haut .
Turquoise . On connait la turquoise Américaine pour sa fameuse » Sleeping Beauty « . Mais d’autres gisement depuis 6 000 ans produisent également de la turquoise . Les gisements Afghan et Iranien en produisaient alors beaucoup . Dès l’antiquité les Egyptiens l’utilisaient pour la fabrication de bijoux précieux et d’objets d’art . Elles ornait les coiffes des pharaons . Ce qui en dit long sur son prestige . En Perse ( Iran actuel )on la nommait Firuze ou Férozah . Ce qui signifiait victorieux en Perse . Elles servait alors de monnaie d’échange . De nos jours elle est désormais utilisée en joaillerie . Mais elle est aussi exploitée en Lithothérapie pour ces nombreux bienfaits . Autant physiques que psychiques .
